By Rezo Nodwes -31 janvier 2022
Cap-Haitien, lundi 31 janvier 2022 ((rezonodwes.com))–
La mère de la liberté, Haïti, est au plus bas niveau de son histoire depuis l’indépendance à date. Elle a été connue pour sa légende, sa culture et surtout pour le nouvel ordre mondial établi. Aujourd’hui, sur la carte mondiale, la partie ouest de l’île ne travaille que pour sa disparition.
Tous les secteurs de la vie nationale sont hypothéqués sans condition aucune. Le Ministère de l’Agriculture, des Ressources Naturelles et du Développement Rural (MARNDR) est pris d’assaut par « Avancé ci-après Chemonics », un entremetteur de l’organisation internationale « Agence Américaine pour le Développement International » (USAID). La gestion de cette dernière de la sphère agricole est catastrophique, elle crée encore plus de problèmes. Avec, cette dite sphère est tournée à contre-normal.
Otagé par le Fonds International de Développement Agricole (FIDA) et l’USAID, le champ agricole reçoit incessamment le financement des projets bidons avec l’obligation des contrats juteux pour des organisations intervenant comme « OPS », telles que : Association des Volontaires pour le Service International (AVSI) et Centre d’Étude et de Coopération Internationale (CECI) dans le cadre du projet «Programme d’Innovation Technologique en Agriculture et Agroforesterie» (PITAG) en complicité avec des cadres de la coordination nationale et régionale dudit projet pour le MARNDR sous le leadership de l’Ing. Agr Jean-Mary Robert Chéry et ceux du ministère susdit. Alors que 50 % de la communauté nécessiterait une aide humanitaire urgente.
Malgré les millions investis dans la santé en Haïti, le secteur médical garde encore et pour longtemps ses handicaps. Les services sanitaires d’urgence sont incertains, plus de 80 % de la population haïtienne, n’ont accès aucun aux soins de santé. Au niveau des hôpitaux, c’est le désastre, même l’intrant le plus facile, le moins coûteux n’est pas disponible. C’est le pays au drapeau étoilé qui poursuit son petit bonhomme de chemin à travers le Plan d’Urgence du Président des États-Unis pour la Lutte contre le Sida (PEPFAR), l’Agence Internationale Américaine pour le Développement International (USAID) et la Tuberculose Coalition Technical Assistance (TB-CTA), son unique mission est l’extermination à tout prix de cette parentèle de fierté, dignité, classe et civilisation démocratique nègre.
Toutes les institutions républicaines sont détruites par des organes de l’Organisation des Nations Unies (ONU) et du pays au blason l’oiseau bec fer. L’éducation et la Justice ne sont pas exemptées de la barbarie, du gâchis et terrorisme américano-onusiens à travers les Nations-Unies pour l’Éducation, la Science et la Culture (UNESCO) et la fréquente Agence Américaine pour le Développement International (USAID). Elles façonnent l’école haïtienne avec leurs objectifs et intérêts pour leurs perspectives de la jeunesse qu’elles pourrissent et des futurs leaders qu’elles construisent. Le ministère de l’Éducation Nationale et de la Formation Professionnelle (MENFP) n’est que fiction. La justice elle-même n’est qu’un outil de contrainte entre leurs mains. Et les magistrats assis et ceux debouts œuvrent à leur bon gré mal gré pour leur compte. La feuille de route de route du garde des sceaux est élaborée suivant leurs priorités. Le directeur général de la police Nationale d’Haïti (DGPNH) doit être béni surtout par les USA avant sa prise de fonction en dépit de son choix par l’autorité compétente, et pendant, lui ont défini puis confié leur mission.
Ces derniers ont sélectionné, nommé présidents, membres des gouvernements depuis l’occupation américaine de 1915 à aujourd’hui. Leurs dernières décisions en date ont montré très clairement que HAÏTI n’est pas un pays souverain, voire un pays malgré son indépendance, sa constitution, les sens du concepts « pays ».
Après la mort de son excellence Jovenel Moïse, Les États-Unis et l’Organisation des Nations-Unies ont imposé Ariel Henry, prétextant les dernières volontés du feu son excellence. Ils disent, par la voix de Brian Andrew Nichols, diplomate américain servant comme secrétaire d’état adjoint aux affaires de l’hémisphère occidental, que le mandat du défunt locataire du palais national n’est pas lié au temps du premier citoyen de la nation, le patron de la primature, le neurochirurgien.
Si quelque chose de manière hâtive n’est fait, HAÏTI n’aura plus de palais présidentiel, vu le pétrin dans lequel elle se trouve par la déprédation, monstruosité des USA et pourrait très bientôt avoir un autre nom.
Reynoldson MOMPOINT
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