By Rezo Nodwes -20 décembre 2021
Lundi 20 décembre 2021 ((rezonodwes.com))–
L’inégalité sociale entend un traitement de favoritisme et d’exclusion, qui privilégie une classe ou un groupe, sur le plan social et économique sur un/e autre. Celle-ci représente la faiblesse et le handicap de notre société.
Ce qui rend le territoire national invivable et empêche la jouissance des droits fondamentaux.
Dans les domaines de la santé, l’éducation, la justice, la finance et autres, il ya un écart considérable entre les classes sociales, une inégalité criante qui atteint la dignité humaine.
L’Organisation « Kay Jèn » condamne sans réserve cette inégalité existante qui sévit depuis plus d’un siècle au sein de la société, où on trouve la domination d’une classe sur une autre classe, où la mobilité sociale est comme une chimère.
Dans ce climat infernal actuel, les jeunes sont les victimes.
Sur le plan social, le chômage bat son plein, les jeunes ne jouissent pas de leur droit au travail. Ceux et celles qui ont un travail ou qui pratiquent une profession manuelle ou intellectuelle indépendante, se trouvent dans un chômage déguisé puisqu’ils/elles sont en difficulté de répondre à leurs besoins.
En dépit des connaissances acquises, c’est très difficile pour eux, de mettre sur pied une activité économique et financière par manque de moyens et à cause des barrières que certains privilégiés placent devant eux.
Certains/ nes servent d’ouvriers/ères politiques et de mercenaires, pour les politiciens/nes verrées et les bourgeois compradors qui exploitent leur besoins. Ils/ elles sont les victimes au premier degré du système judiciaire et carcérale de la République, où ils/elles sont en détention préventive prolongée.
En ce sens, l’Organisation « Kay Jèn » critique le laxisme et la passivité des autorités Etatiques qui n’ont manifesté aucune volonté politique pour éradiquer ce fléau. Elle plaide pour l’équité et l’égalité au sein de la société. L’Organisation estime qu’il est indispensable de procéder à la redistribution et la répartition des richesses du pays.
Ainsi, la justice, la santé, l’éducation pour tous ; ainsi, tous les avantages sociaux seront communs à tous, où l’équilibre social serait établi.
« Kay Jèn » lance un appel à la jeunesse, afin qu’elle se réveille de son sommeil pour réclamer ses droits sociaux, économiques et culturels ; réclamer par ricochet ses droits civils et politiques.
Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits.
Pour l’Organisation
Chedler DESIR Maxendex CLEUS
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