By Rezo Nodwes -15 septembre 2021
Une méga saga de cocktail explosif dans un conglomérat truffé de scélérats experts des pratiques opaques et des tactiques cyniques. Cela craque et détraque entre les chabraques de la famille patraque du PHTK pour atteindre le climax du climat de la politique fatras bourré d’ingrats, de malfrats et de kokorats.
par Carly Dollin
Mercredi 15 septembre 2021 ((rezonodwes.com))–
Cas spécial, Joseph se leurrait de profiter du creux abyssal pour attaquer et arnaquer afin de casser la baraque en se faisant coiffer de la première couronne. L’odorat du gros rat au Sénat qui traîne son flair dans un complexe présidentiel addictif entraîne davantage des dégâts aboutissant à des éclats de projectiles dans une série de polémiques stériles entre des officiels de facto artisans et profiteurs du chaos. Tous les coups sordides seraient permis ; volontairement, loups, lions, caméléons et lézards aux « dents dures » sont lâchés dans la jungle ensanglantée par des officiels corrompus pour y semer la pagaille et massacrer la sécurité et la paix jusqu’aux entrailles. Décapitation, convocation irrégulière, interdiction, diversion, démission, révocation ; au sens propre, ces autorités impropres de la politique salope s’insultent, s’entretuent et se mangent.
Véritable pénitence de la transparence et de la luminescence en ce règne de démence effrénée du discernement à l’hypothalamus de ce corps public squelettique, après dix ans dans une tragédie politique singulière, la démangeaison sociale nous est léguée comme héritage en raison de la déraison démesurée du PHTK. La maison est hantée ; Haïti vit l’expression d’une pendaison de ses références et de ses valeurs désacralisées dans une oraison funèbre ignominieuse. La population reste trop longtemps sur ses lauriers perturbés et hypnotisés par cet accueil politique post-sismique chtonien converti en des rendez-vous à des cercueils au quotidien. L’ingérence électorale internationale est à la base de cette dégénérescence sociétale.
Le règne animal : Inversion des incitations sous PHTK
Sous l’égide de Ti-Simone, puis de son défunt dauphin qui accomplit fidèlement la volonté du père du PHTK, telle une pyramide inversée, le régime médiocratique en vigueur au pays impose – après avoir assouvi les priorités physiologiques – d’autres motivations malheureusement néfastes. Au lieu d’œuvrer pour l’épanouissement individuel et collectif, lesdites motivations frisent des feuilles de route diaboliques pour accélérer les destructions, les malversations, les inversions, la désacralisation des institutions, la crucifixion des valeurs intrinsèques et la disparition spectaculaire de vies humaines.
Après s’être rassasié des besoins prioritaires (Nutrition), les prochains échelons proposés par la théorie du PHTK au citoyen qui rêve de s’émanciper à la société seraient: Corruption – Perversion – Gangstérisation – Décapitation.
La CORRUPTION, le muscle cardiaque de la circulation sanguine du PHTK
Depuis la prise de fonction de ce régime pervers, la corruption se conjugue au pays au présent, au passé et au futur. Unisexe, rural-urbain, inter-pouvoir, intra-pouvoir, interracial ; hommes, femmes, jeunes et vieux, de nombreux citoyens de souche étrangère, paysanne et aristocratique sont pourris dans la concussion. Au bercail et à la diaspora, on y décèle une palanquée de gens passés pour experts dans les jeux pervers de surfacturation, pluri-facturations, commissions illicites et tous les crimes financiers.
PetroCaribe (Ede-Pèp, Stades-Olivier, Kore-Fanm, Kore-Etidyan,…), Dermalog, Dollar-Cinquante, Sofidai, agressions et transgressions sur les fonds de FDI, ONA, BRH, FAES, BMPAD, CAS, APN,…, très longue est la liste des institutions publiques dépouillées sur le règne de ces champions de la corruption. « Yo Pa Egare » !
La PERVERSION, la glande pulmonaire qui assure la respiration du PHTK
Invectives, insultes, outrages, masturbation, harcèlement, viols, pornographie gérontocratique, promotion officielle de la prostitution et des gouyads Chawa Pete, Ti-Mamoun, Ti-Rat, Ti-Sourit; décrets transgenre, pro-masimadi, pornographie précoce, bestialité. La perversion a dessiné une tendance exponentielle sous le règne de ces dévergondés à qui les clés de la cité ont été égarement confiées.
Les fillettes sont constamment dépucelées par des malandrins et des assasins de grand chemin; la pornographie a envahi les coins, les recoins et les couloirs des institutions publiques. Sous couvert d’œuvres caritatives factices, d’orphelinat, de missions « religieuses » et de missions des Nations-Unies, de nombreux Ti-Joël et Ti-Sentaniz sont perdus, vendus et fondus comme des résidus à des impudiques aux nez allongés et aux yeux vairons.
Avec la complicité de vilains locaux, ces déloyaux « samaritains » internationaux érigent leurs verges réels et artificiels dans la gourmandise sexuelle détraquée de jeter leur gourme à la Cité appauvrie et vulnérabilisée de la Caraïbe. Que d’enfants « orphelins » de pères ont été engendrés par des géniteurs insensés de la Minustha et bien d’autres OI et ONG de l’international.
Les scandales de viols, d’agressions sexuelles et d’enfants abandonnés par des ministres, des députés et des pères conscrits courent le Bicentenaire, les rues menant à l’Education nationale, les couloirs des facultés et les ruelles des studios de certains médias de la Capitale. Exploitations sexuelles de patrons sur les clients, de directeurs sur les secrétaires, de propriétaires sur les servantes. Des prestations débandades – krèy, makrèl, bordel et gangbang – Haïti réitère en plein air les expositions ténébreuses d’un farouche dévergondage.
Une république historique en grossesse politique ectopique, les axes stratégiques de la république sont squattérisés par des bandits officiels et officieux qui amplifient la dépravation en des séries de pornographie débridée et d’un tourisme sexuel démentiel. Cette dernière décennie d’inepties et de médiocratie rancie en a porté le coup de grâce pour disgracier le prestige et la fierté de la nation qui passe de la belle perle à la poubelle des Antilles.
Marque de fabrique de cette dernière équipe politique de lignée damnée, cette kakistocratie – animée de marchandages loufoques, de bavardages illogiques, de chantage et de grattage de dos réciproques entre des médiocres – brise les lignes de la dignité et atomise les positions rectilignes à léguer à la descendance. Les encres de l’histoire soulignent à grand trait les multiples crimes de ce régime inculte et les marqueurs surlignent dans la tonicité l’attitude flatteuse d’une factice technicité qui ose ignorer et occulter l’iniquité et la caducité des autorités de facto. Pour que les infortunés – nés sous ce beau ciel obscurcis par des ramassis de simagris et de graffitis funestes – quittent les camps pestilents du Canaan, le PHTKisme doit foutre le camp de la scène politique.
La gangstérisation des institutions sacrées constitue le système nerveux des élections frauduleuses du PHTK. Aucun parti politique responsable ni aucun candidat raisonnable ne sauraient accorder feu vert à ces démagogues pour exécuter leur vilain projet Dermalog d’élections « Pike Kole » pour empirer davantage le contexte social.
Il devient alors incontournable de parapher un accord avec des citoyens loyaux et consciencieux pour assurer une transition salvatrice avec les attributions de nettoyer les écuries d’Augias avant toute entreprise politique d’envergure à la Cité.
Carly Dollin, carlydollin@gmail.com
Instructor-PhD Student in Economics
Master Student in Statistics
Washington State University (WSU)