23 juin 2018 Rezo Nòdwès
Ce serait un nul si le match Brésil-Costa Rica avait pris fin en temps réglementaire, a commenté Lula. « Les images de Neymar qui pleure est la démonstration de l’état psychologique d’un joueur qui porte la lourde responsabilité d’être le meilleur de l’équipe« , a également ajouté vendredi l’ancien président Lula, qui, depuis sa cellule, suivait la rencontre Brésil-Costa Rica, à l’instar de milliers d’ Haïtiens
Sao Paulo, dimanche 24 juin 2018 ((rezonodwes.com))–L’ex-chef d’Etat du Brésil qui est allé plus loin dans ses commentaires sur la victoire du Brésil remportée vendredi 2-0 sur le Costa Rica 2-0, a déclaré qu’ « une fois de plus la sélection n’a pas bien joué, mais que le rôle des adversaires est le même: ne pas laisser les joueurs du Brésil évoluer« .
Dans un des textes rédigés par M. Lula et qui est lu à l’émission sportive de TVT, à Sao Polo, il a rappelé un commentaire qu’il a fait sur le match précédent, avertissant toutefois que David pouvait battre Goliath en référence au duel de vendredi dernier où le Brésil a arraché dans la douleur un 3 points, cependant ne lui empêchant pas, contrairement à l’Argentine, de rêver sa participation aux Huitièmes de finale.
« Et c’est presque arrivé dans le match Brésil contre le Costa Rica, et si le match avait pris fin en temps normal, ce serait un nul … Grâce à la cire du Costa Rica, le Brésil a marqué deux buts dans les prolongations. » a écrit le célèbre prisonnier brésilien purgeant actuellement une peine de 12 ans pour corruption et blanchiment d’argent. Un fait qu’il a toujours nié.
Le président Lula a mentionné que « Nous devons admettre que le Brésil n’a pas bien joué, et Tite le sait » poursuivant qu’ « Il n’a pas bien joué car l’adversaire n’a pas voulu céder et ce sera comme ça à chaque match, personne ne veut perdre devant le Brésil. « C’est pourquoi, a fait remarquer M. Lula, que « le jeu collectif et la créativité de nos joueurs doivent l’emporter: nous avons eu près de 70% de possession du ballon en temps normal, mais nous n’avons marqué qu’en prolongation. »