Eudes Lajoie aurait menacé de mort certains employés de l’ONM

Eudes Lajoie aurait menacé de mort certains employés de l’ONM post thumbnail image

ROSNY LADOUCEUR CREATED: 18 SEPTEMBER 2018 ACTUALITÉS LOCALES

Le directeur de l’ONM, Eudes Lajoie.

La sécurité d’au moins une dizaine d’employés de l’Office National de la Migration serait menacée . Très remontés contre le Directeur général installé à ce poste depuis juin 2017, ces cadres critiquent la décision d’Eudes Lajoie de vouloir les transférer dans d’autres départements sans même envisager des mesures d’accompagnement.

Selon lesdits employés, s’ils s’opposent à la décision du directeur, ils seront renvoyés de leur poste ou au pire, ils risquent d’y laisser leur peau. A l’émission Chita tande de radio Zénith, les employés déclarent ne pas savoir à quel saint se vouer et qu’ils ont adressé une note aux membres de la commission des Affaires sociales du sénat pour exiger la révocation de Lajoie.

Ils accusent Eudes Lajoie de salir l’image de cette institution qu’il gère déjà, selon eux, très mal. Les protestataires ont même signé une pétition où ils exigent au Ministère des Affaires sociales et du travail de prendre les mesures contre leur patron.

Les employés regrettent qu’Eudes Lajoie soit encre en poste comme Directeur de l’Office National de la Migration. Ils l’accusent d’être un amoral et de tenir des propos injurieux à l’endroit du personnel administratif.

Dans une vidéo devenue virale sur le web, en mai dernier, on a vu un homme pouvant être identifié comme le Directeur de l’Office Nationale de la Migration (ONM), bien accoutré dans son pyjama, en train de se masturber et assouvir ses pulsions sexuelles.

Les autorités se sont tues depuis lors et ne sont jamais intervenues sur ce dossier,malgré les demandes de révocation du titulaire de l’ONM. En octobre 2017, les employés du Ministère de la condition féminine et des droits des femmes, avaient accusé Eudes Lajoie d’avoir agressé verbalement l’une de leurs collègues. Des syndicalistes dénoncaient alors la violation de leurs droits d’une de leur collègue par un ancien prisonnier devenu un officiel du régime Tèt Kale.