Lundi 21 janvier 2019 ((rezonodwes.com))– Lors d’une conférence de presse présentée lundi matin à son hôtel à Tabarre en présence de ses partisans, Yves Léonard a rejeté d’un revers de main les accusations de voies de fait, coups et blessures sur la personne de sa compagne, la mairesse Nice Simon.
Avec un luxe de détails, et photos à l’appui, dans une opération de charme, Léonard a fait l’historique de ses relations avec l’actrice de « I love you Anne » tout en réaffirmant son amour pour celle-ci.
L’homme d’affaires, propriétaire de la résidence habitée par le couple présidentiel, s’est présenté comme un père et un conjoint affectueux et aimant, qui n’aurait jamais perpétré les actes qu’on lui reproche.
« Je ne suis pas un criminel » s’est-il écrié, estimant au contraire avoir été attaqué par Nice Simon, parce qu’il voulait vérifier sur le téléphone de celle-ci un appel reçu à une heure indue.
« Nice s’était déjà déshabillée quand elle a reçu l’appel et a voulu sortir dans la nuit. J’ai voulu vérifier la provenance de l’appel, mais elle s’est jetée sur moi et a mordu sauvagement mes doigts. J’ai dû la mordre aussi pour qu’elle puisse me relâcher », a expliqué Léonard.
Il a, par contre, avoué avoir poussé sa partenaire qui s’est alors heurtée contre un meuble et a indiqué que, folle de rage en pensant que son œil a été amoché, Nice Simon lui a jeté à la tête des bouteilles de parfum.
Yves Léonard a affirmé n’avoir rien à voir avec les hématomes qui ont été observées sur le corps de la mairesse et a révélé avoir interjeté appel de l’ordonnance du juge d’instruction Wando Saint-Villier le renvoyant devant un tribunal correctionnel pour être jugé.